J231 – F245
God permits industrious Angels —
Afternoons — to play —
I met one — forgot my Schoolmates —
All — for Him — straightway —
God calls home — the Angels — promptly —
At the Setting Sun —
I missed mine — how dreary — Marbles —
After playing Crown!
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Dieu permet les Anges industrieux –
Dans les après-midis – qu’ils jouent –
D’en croiser un – j’oubliai mes Copains –
Tous et chacun – pour Lui – d’un coup –
Dieu rappelle – les Anges – prompts chez eux –
Au moment du Soleil Couchant –
J’ai raté le mien – les Billes – sont bêtes –
Suite au jeu du Couronnement !
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J230 – F244
We — Bee and I — live by the quaffing —
’Tisn’t all Hock — with us —
Life has its Ale —
But it’s many a lay of the Dim Burgundy —
We chant — for cheer — when the Wines — fail —
Do we “get drunk”?
Ask the jolly Clovers!
Do we “beat” our “Wife”?
I — never wed —
Bee — pledges his — in minute flagons —
Dainty — as the trees — on our deft Head —
While runs the Rhine —
He and I — revel —
First — at the vat — and latest at the Vine —
Noon — our last Cup —
“Found dead” — “of Nectar” —
By a humming Coroner —
In a By-Thyme!
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Tous deux – l’Abeille et Moi – vivons pour la rasade –
Point que Tokay pour nous – la vie a sa Cervoise –
Mais c’est nombre de lais de la Vague Bourgogne –
Quand les Vins – font défaut – que notre joie – dégoise –
En sommes-nous « grisées » ? Demande au jovial Trèfle !
« Battons-nous » – notre « Femme » ? Jamais – n’épousai –
L’Abeille – boit à la sienne – en frêles flacons –
Ténus – comme les arbres – sur nos chefs déliés –
Tant que coule le Rhin – elle et moi – bambochons –
D’abord – à la futaille – à la Vigne à la fin –
Midi – l’ultime verre – « Mortes » – « de Nectar » –
Trouvées par un bourdonnant Légiste d’An-Thym !
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J229 – F289
A Burdock — clawed my Gown —
Not Burdock’s — blame —
But mine —
Who went too near
The Burdock’s Den —
A Bog — affronts my shoe —
What else have Bogs — to do —
The only Trade they know —
The splashing Men!
Ah, pity — then!
’Tis Minnows can despise!
The Elephant’s — calm eyes
Look further on!
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Une Bardane a – labouré ma Robe –
À Bardane non le blâme – mais moi –
Qui m’approchai trop près –
D’où Bardane se tient –
Un Bourbier – vient outrager mon soulier –
Mais que d’autre ont à faire – les Bourbiers –
C’est tout ce qu’ils connaissent pour métier –
L’éclabousser d’Humains !
Ah, c’est pitié – enfin !
Aux Fretins le pouvoir de mépriser !
De l’Éléphant – l’œil calme à se poser
S’en va toujours plus loin !
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J228 – F321
Blazing in Gold and quenching in Purple
Leaping like Leopards to the Sky
Then at the feet of the old Horizon
Laying her spotted Face to die
Stooping as low as the Otter’s Window
Touching the Roof and tinting the Barn
Kissing her Bonnet to the Meadow
And the Juggler of Day is gone
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Par fulgurances d’Or et étouffoirs de Pourpre
Vers le Ciel en Léopards bondissant
Ensuite aux pieds du vieil Horizon les ocelles
De son Visage pour mourir plaçant
S’abaissant jusqu’à la Fenêtre de l’Hépiale
Touchant le Toit et teignant le Pailler
D’un baiser abandonnant son Bonnet au Pré
La Saltimbanque du Jour a passé
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J227 – F198
Teach Him — When He makes the names —
Such an one — to say —
On his babbling — Berry — lips —
As should sound — to me —
Were my Ear — as near his nest —
As my thought — today —
As should sound —
“Forbid us not” —
Some like “Emily.”
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Apprends-Lui – au Moment qu’Il fabrique les noms –
Celui-là même – à prononcer –
Dans son babillement – sur des Lèvres – de Baies –
Qu’il en soit – pour moi – l’énoncé –
Mon Ouïe serait-elle – aussi près de son nid –
Que l’est ma pensée – aujourd’hui –
Qu’il profère – « Quand même nous serions indignes » –
Quelqu’un pareil à « Emily ».
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