lundi 14 janvier 2013

J111 – F113

The Bee is not afraid of me.
I know the Butterfly.
The pretty people in the Woods
Receive me cordially —

The Brooks laugh louder when I come —
The Breezes madder play;
Wherefore mine eye thy silver mists,
Wherefore, Oh Summer’s Day?
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L’Abeille n’a pas peur de moi.
Je connais la Phalène.
Le joli peuple dans les Bois
De tout cœur me fait sienne –

J’arrive et les Rus rient plus fort –
Les Zéphyrs jouent plus fous ;
D’où donc, Jour d’Été, qu’à ton or,
Mon œil s’embrume, d’où ?
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J110 – F111

Artists wrestled here!
Lo, a tint Cashmere!
Lo, a Rose!
Student of the Year!
For the easel here
Say Repose!
_____

Artistes ici se battirent !
Çà, un soupçon de Cachemire !
Là, une Rose !
Ô toi l’Année qui étudies !
Du fait du chevalet ici
Dis qu’ils Reposent !
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J109 – F163

By a flower — By a letter —
By a nimble love —
If I weld the Rivet faster —
Final fast — above —

Never mind my breathless Anvil!
Never mind Repose!
Never mind the sooty faces
Tugging at the Forge!
_____

Si par une lettre – Par une fleur –
Par une passion déliée –
Je soude le Rivet au plus étroit –
Au-dessus – ultime scellé !

Peu me chaut mon Enclume à bout de souffle !
Peu me chaut le Délassement !
Peu me chaut les visages ensuiés
À la Forge s’évertuant !

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