J941 – F925
The Lady feeds Her little Bird
At rarer intervals —
The little Bird would not dissent
But meekly recognize
The Gulf between the Hand and Her
And crumbless and afar
And fainting, on Her yellow Knee
Fall softly, and adore —
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La Dame nourrit Sa petite Oiselle
À de plus rares intervalles –
Sans en dissentir mais modestement
Reconnaît la petite Oiselle
Qu’est un Abîme entre la Main et Elle
Et démiettée venue des airs
Et languissante, sur Son Genou jaune
Elle tombe douce, et vénère –
_____
J940 – F924
On that dear Frame the Years had worn
Yet precious as the House
In which We first experienced Light
The Witnessing, to Us —
Precious! It was conceiveless fair
As Hands the Grave had grimed
Should softly place within our own
Denying that they died.
_____
Sur ce cher Châssis ont pesé les Ans
Précieux pourtant comme le Toit
Où d’abord Nous goûtâmes la Lumière
Pour Nous, Témoin digne de foi –
Précieux ! Et beau inconcevablement
Comme par la Tombe encrassées
Des Mains poseraient douces dans la nôtre
Niant qu’elles aient décédé.
_____
J939 – F869
What I see not, I better see —
Through Faith — my Hazel Eye
Has periods of shutting —
But, No lid has Memory —
For frequent, all my sense obscured
I equally behold
As someone held a light unto
The Features so beloved —-
And I arise — and in my Dream —
Do Thee distinguished Grace —
Till jealous Daylight interrupt —
And mar thy perfectness —
_____
Ce que je ne vois pas, je le vois mieux –
Par la Foi – mon Œil d’Aveline
Connaît des périodes d’obturation –
Mais, la Mémoire est sans persienne –
Car fréquemment, mes sens tous obscurcis
Je contemple de la façon
Dont on maintiendrait une lampe auprès
Des Traits sont se fait sa passion –
Et je me lève – et du sein de mon Rêve –
Te rends Grâce de distinction –
Jusqu’au Jour jaloux venant interrompre –
Et gâter ta perfection –
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