dimanche 16 décembre 2012

J7 - F16

The feet of people walking home
With gayer sandals go —
The Crocus — til she rises
The Vassal of the snow —

The lips at Hallelujah
Long years of practise bore
Til bye and bye these Bargemen
Walked singing on the shore.

Pearls are the Diver’s farthings
Extorted from the Sea —
Pinions — the Seraph’s wagon
Pedestrian once — as we —

Night is the morning’s Canvas
Larceny — legacy —
Death, but our rapt attention
To Immortality.

My figures fail to tell me
How far the Village lies —
Whose peasants are the Angels —
Whose Cantons dot the skies —

My Classics veil their faces —
My faith that Dark adores —
Which from its solemn abbeys
Such resurrection pours.
________

Les gens qui font à pied route chez eux
Vont en sandales plus joyeuses –
Jusqu’à ce qu’il s’érige – le Crocus
Une Vassalité Neigeuse –

Les lèvres selon leur Alléluia
De longues années pratiquèrent
Jusqu’à l’heure où ces radeliers enfin
La grève en chantant arpentèrent.

Les perles à la Mer qu’il extorqua
Sont au Pêcheur maravédis –
Les pennes – au Séraphin son charroi
Un piéton comme nous – jadis –

La nuit est la toile où peint le matin –
L’exaction – est un acquêt –
La mort, notre simple attention saisie
À l’égard d’immortalité.

Mes chiffrages échouent à m’indiquer
Combien jusqu’au hameau de lieues –
Dont les Paysans sont les Chérubins –
Dont les Cantons cloutent les cieux –

Mes classiques se voilent le visage –
Ma foi cette noirceur adore –
Qui par ses solennelles abbayes
Fait de résurrection débord.

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